La rouquine
Lors de mes années d’internat, j’ai pu faire la rencontre de la jolie Hélène. Une jolie rousse aux cheveux ondulés d’1m75, de très beaux yeux vert mis en valeurs par ses lunettes. On s’est tourné autour pendant tout une année avant de se céder l’un à l’autre lors d’un week-end d’hiver passé à l’internat. Il avait plu toute la journée ce jour là et nous étions en pleine période d’examen. On avait révisé ensemble tout au long de l’après midi, démoralisé par le temps qu’il faisait. Heureusement c’était le week-end, pas grand monde dans l’internat, on avait pu rentrer un pack de despé. On buvait quelques bière en même temps que l’on révisait, histoire de nous motiver. Après quelques bière je lui ai proposé de corser un peu les révisions. A chaque bonne réponse on buvait une gorgée et à chaque mauvaise réponse on devait enlever un vêtement. On avait tout les deux le même niveau en classe, ce qui rendait le jeu équitable et intéressant. Elle à accepté et le jeu à commencé. On a descendu une bière chacun avant que je fasse la première erreur. J’ai ôté mon sweat car je commençais a avoir chaud. Le jeu a continuer, les erreurs devenait de plus en plus présente a cause de l’alcool. Il ne me restait plus que mon caleçon et mon tee-shirt alors qu’elle était juste en sous-vêtement. De mon coté le désir montait de plus en plus et je commençais à avoir du mal à le dissimuler. Elle a fait une nouvelle erreur, sans broncher elle s’est levée, s’est retournée et à ôté son soutien-gorge. Il était violet avec quelques dentelles noire, assorti au tanga qu’elle portait. Quand elle s’est retournée, mon cœur s’est lui aussi retourné dans ma poitrine. Ses seins étaient magnifiques, bien rond et ils ne tombaient pas malgré qu’elle faisait du 95D. Je ne pouvais plus cacher l’érection grandissante dans mon caleçon. Elle a refait une dernière erreur, c’était le moment fatidique pour elle. Elle s’est de nouveau retournée et à commencé à descendre son tanga. Elle le faisait glisser le long de ses cuisses tout doucement tout en remuant ses superbes fesses. Elle s’est tournée vers moi, à ramassé son tanga et me l’a lancé au visage. Je lui ai sourit et l’ai admirée tandis qu’elle tapait la pose devant moi. Elle avait une étoile de tatouée sur le pied, je ne l’avait jamais remarquée auparavant. J’ai continué de l’examinée, ses jambes étaient superbement bien faites. Je suis arrivé a la vision de son sexe, elle n’était pas entièrement épilée, juste le maillot, mais elle prenait soin d’elle quand même. En remontant j’ai aussi découvert un petit piercing a son nombril, un petit cœur en diamant. J’ai pas eu le temps de finir de l’admirer qu’elle s’est jetée sur moi. A califourchon sur moi elle m’a aidé à retirer mon tee shirt et on s’est embrassé fougueusement. Je pense qu’entre l’alcool, l’excitation d’enfin s’être trouvé avec s’être tourné autour pendant un an, mais rien que ces baisers étaient intense. On avait beau être en hiver, il me semblait faire une chaleur du diable dans la chambre. Je lui massais la poitrine pendant que l’on continuait d’échanger de fougueux baisers. Elle a sorti mon sexe du caleçon qui l’oppressait et à commencer à se frotter contre. Elle était déjà trempée d’excitation, nos deux sexes glissaient l’un contre l’autre et les baisers étaient toujours aussi intenses. Dans un léger mouvement de hanche elle le fit pénétrer en elle, directement au plus profond qu’elle pouvait. Elle s’est redressée et à commencée à onduler son corps sur le mien. Elle n’arrêtait pas de passer ses mains dans ses cheveux roux, ça la rendait encore plus sublime qu’elle ne l’était déjà. Sa poitrine dansait devant moi j’en étais hypnotisé. Elle s’est re-penchée sur moi pour m’embrasser. Je lui ai alors attrapé les fesses et je l’ai pilonnée. Je l’ai pilonnée encore et encore. Je l’embrassai pour pas qu’elle crie. On avait beau être peu nombreux il ne fallait pas qu’on se fasse entendre, on risquait l’exclusion. Sa respiration était saccadée, elle n’en pouvait plus, elle gémissait malgré tout. Mais je ne pouvais pas m’arrêter, c’était trop intense. C’est quand elle n’a pu s’empêcher de pousser un hurlement de plaisir que je me suis arrêté. Je l’ai mise en cuillère et j’ai recommencer à la pénétrer doucement tout en lui massant la poitrine à pleine main. Nos deux corps étaient blotti l’un contre l’autre dans ce petit lit une place. Je la sentait haletante contre moi. On était tout deux essoufflés et totalement excités. Mes vas et viens étaient lent et profonds ce qui suffit largement pour lui procurer un orgasme. Je me suis stoppé, me suis retirer et l’ai serrée fort contre moi un long instant. Son corps ne cessait pas de tremblé. Une fois calmée elle s’est allongée sur le dos et je lui ai grimpé dessus. Elle à commencée à me sucer avec douceur jusqu’à ce que mon sexe soit de nouveau bien lubrifié. Je l’ai alors glissé entre ses seins et tandis qu’elle me faisait une branlette espagnole, je lui caressais le clitoris. Sa belle poitrine était parfaite pour cet exercice. Nos regards étaient plongés l’un dans l’autre sans pouvoir s’en détaché. On était en parfaite harmonie. En même temps qu’elle me masturbais avec ses gros seins, elle me léchait le gland, parfois me suçait de nouveau avant de repartir dans ses seins. Quand je fus prêt à venir, je me suis retiré et lui ai arrosé sa douce poitrine de mon sperme. Nos regards ne s’étaient pas quittés une seconde. On s’est sourit et on est aller prendre une douche ensemble durant laquelle chacun a lavé le corps encore bouillant de l’autre.