Conversation érotique

24h / 24h avec CB sécurisé. A l'écoute de vos desirs

06 12 84 50 49

Soirée poker

Hier soir mon mari recevait ses amis pour une soirée poker. Je n'étais pas très contente, sa dernière soirée poker nous avait valu une bonne prise de tête. Il avait joué et perdu pas mal d'argent, je le lui ai reproché ... Ça m'a coûté une bonne fessée. Je suis sa soumise et j'aime ça. Parfois j'oublie de rester à ma place et sa fermeté me ramène dans mon rôle.
Donc hier soir il reçoit ses amis. Peu de temps avant leur arrivée il me dit "Vas te préparer ! Douche, lavement et ta tenue est sur le lit." Wahou ! Ce ton autoritaire me met dans tous mes états ! Je m'exécute en cogitant : je ne suis pas habituée à ce qu'il me prépare une tenue. Et on reçoit ce soir ... serait-ce annulé ? Douchée du corps et du cul, je trouve dans la chambre un corset seins nus, les larges bracelets de poignets et de chevilles en cuir et mon collier de soumise. Ok : monsieur veut jouer ce soir ! J'enfile le tout et je vais le rejoindre.
Sur la table un plateau de jeu, les cartes, les jetons. Le poker est maintenu ? Juste à côté un plateau avec nos jouets de fessée : cravache, paddle, martinet. Mais aussi mes pinces à seins, des chaînes à entraves et d'autres jouets que je n'ai pas le temps de détailler du regard. Il se tourne vers moi : "ce soir tu vas être un peu plus soumise que d'habitude. Pas de choix : soit tu es dans le jeu, soit tu sors du jeu. Ok ?" Je ne demande pas plus d'explication. Avec un grand sourire : "Oui Monsieur".
Il empoigne un bâillon-boule et me le met. Ensuite, il explique : "Tu vas rester là. Tu écoutes. Tu attends. Tu t'exécutes." Et avec un sourire il ajoute : "J'ai tenu compte de ta désapprobation, je ne perdrai pas d'argent ce soir. Ok ?" Je ne comprends pas mais je hoche la tête.
Fin du visuel pour moi. Il me place un bandeau sur les yeux. Ensuite il m'installe en posture d'attente sur une desserte au bout de la table. Agenouillée, buste droit, offerte. Il prend mes poignets et attache les entraves des poignets et des chevilles ensemble, dans mon dos.
J'attends. Je l'entends qui se déplace autour de moi, il sort des verres et sans doute un rhum vieux, un de ses préférés. On sonne à la porte. Je reconnais les voix. Je me tends. Jamais personne d'autre que lui ne m'a vue ainsi. Même si je l'ai fantasmé, rêvé, il ne m'a jamais offerte ni exhibé. Ses amis arrivent. J'entends des sifflements de surprise et de satisfaction. "Ah tu mentais pas, super !" Qu'a-t-il pu leur dire ?
Très vite je comprends. "Ce soir, pas d'argent. Le gagnant obtient la fin de nuit avec ma femme. Elle est docile et dressée, c'est un bon gain !" Je les entends rire, se féliciter d'un enjeu de choix. Deux d'entre eux viennent me toucher, me pincer les seins. Ils confirment : ok pour ces règles. L'un d'eux s'étonne que mon mari a moins à gagner qu'eux. "Faut bien que je me fasse pardonner pour ma mauvaise foi de la dernière partie !"
Des rires, des bruits de jetons, des verres qui sont emplis et vidés aussi ... Le temps passe. La partie est longue. Ma position devient inconfortable. Mon mari le remarque. "Pause ! Messieurs, madame s'impatiente !" Je les entends se lever, s'approcher. On me tâte les seins. On me les gifle. Plusieurs doigts me fouillent. Je suis excitée comme jamais. Mais on me pose mes pinces à seins et ils retournent jouer en riant. "Un peu de patience ! Ça vient !"
La partie s'éternise. Je ne comprend pas si l'un ou l'autre prend le dessus mais au bout d'une attente interminable j'entends soupirer "on y est jusqu'à demain ! On fait quoi ?" Et mon mari de répondre : "ok, c'est toi Steph qui a le plus de jetons. Je t'accorde la victoire !" L'intéressé rigole "cool mais je ne vais pas pouvoir la ramener chez moi. Ma bonne femme ne le tolèrerait pas ! Je peux en profiter ici ?" J'entends les autres "on peut mater ?" et l'heureux vainqueur, en s'approchant de moi, détache mes entraves pour me relever, attache une laisse à mon collier et me signifie de le suivre au salon à quatre pattes. En commençant à avancer je l'entends, beau joueur : "ma victoire n'est pas éclatante. Vous vous êtes bien défendus. Bon, donc ... on partage ?"
Les acclamations qui nous ont suivis jusqu'au salon m'ont éclairée sur leur avis sur la question. J'avance lentement, toujours les yeux bandés. Je suis excitée à un point que je n'ai jamais connu. Je me sens plus salope que jamais et j'adore ça.
Arrivée au salon j'entends mon mari leur expliquer à quel point j'aime être soumise, fessée et dominée. Deux secondes plus tard on l'enlevait mon baillon et je prenais un premier sexe en bouche, profondément. Au même moment les premiers coups de martinet tombent sur mes fesses. Je gémis. Je les entends commenter mes performances, j'ai du mal à comprendre, je n'ai plus d'attention sur autre chose que la bite qui descend jusqu'à ma gorge.
Suivent quelques grands coups de cravache accompagnés d'un "tu vas en prendre ! Et tu vas aimer ça, hein salope ?" Ça me surprend, je n'ai pas l'habitude que mon mari m'insulte, il est plutôt coutumier des ordres, froids, exigeants. Ceci dit, je crois en la promesse que je vais aimer ça, je tends ma croupe. Une verge de belle taille me pénètre en levrette. Je soupire. Je reprends ma concentration sur la queue dans ma bouche. J'entends mon mari leur conseiller "elle est meilleure en anal. Et elle adore ça." Nouveaux commentaires "ah, une vraie putain, génial ! " Ça m'excite encore plus.
Celui qui m'entreprend en levrette prend le conseil de mon mari à la lettre et s'introduit immédiatement dans mon anus. Sans ménagement. Vigoureusement. De surprise je pousse un cri et lâche le sexe que j'avais en bouche. Je tends une main pour le reprendre, on me la repousse sans ménagement et tout en recevant une gifle j'entends "sans les mains, comme une bonne chienne !". Il reprend ensuite mon irrumation.
La situation doublée aux sensations me fait gémir. Je sens l'orgasme approcher... Mon mari s'approche de mon oreille et me tenant le cou fermement il dit simplement "Non ! Je ne te le permets pas". Ok, j'essaie de me contrôler, de me concentrer sur ma tâche et de "redescendre". Pas évident, car cette situation inédite m'excite au plus haut point.
Celui qui me sodomise jouit en moi. Il se retire. Celui que j'avais en bouche prend sa place. Un troisième vient le remplacer. Mon double pilonnage reprend.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré. J'ai failli jouir trois fois. A chaque fois mon mari me l'a interdit. Deux des convives se sont soulagés dans mon cul. Un autre dans ma bouche. Le dernier sur mon visage.
Ils ont ensuite remercié mon mari. Il m'a ordonné de me nettoyer et de l'attendre où j'étais. Il a raccompagné ses amis. A son retour il s'est installé dans son fauteuil, m'attachant un poignet à chaque accoudoir. Il a sorti son sexe, qui n'avait encore profité d'aucune de mes faveurs ce soir. Je l'ai sucé avec amour en l'écoutant me dire à quel point il était fier de moi et de mon obéissance au cours de cette soirée.
J'ai terminé cette nuit comme elle avait commencé et sans jamais m'être relevée : agenouillée, soumise, dévouée. Et heureuse. Heureuse d'avoir satisfait et de continuer à satisfaire mon mari, mon maître, mon aimé.