Le temps d'assumer
Nico s’assoit sur le canapé à côté de moi, met une main sur ma cuisse et dit en me regardant : « bébé tu trouves pas que ça sent un peu le cul ici ? J'ai été efficace hier hahaha désolé Karim, j'espère qu'on a pas taché ton canapé ! Karim dit : T'inquiète frérot, ce qui est à moi est à toi, l'essentiel c'est que vous vous soyez bien amusés. Je suis médusée, Nico ne se doute vraiment de rien, Karim, qui bande encore je le vois, profite de la situation, et moi je suis excitée comme une puce, j'ai encore envie de me faire prendre. Je ne me reconnais plus, je n'ai jamais été aussi lubrique, perverse, et en demande. A moment donné Nico dit qu'il a faim, et il me demande si je peux aller acheter quelque chose en bas. Je panique, je ne veux pas y retourner, c'est impossible. Avec un grand sourire, Karim dit qu'il va m'accompagner, pour m'aider à porter, vu que Nico est provisoirement invalide. Je vais donc chercher mes chaussures, tandis que Karim attend devant l'escalier. On commence à descendre, je marche devant, dans ma petite robe sans culotte, et je sens le jus de Karim me couler sur la cuisse. Il a remarqué aussi car soudain il m'arrête, me plaque contre le mur, passe ses doigts entre mes cuisses pour recueillir son foutre, puis me les fait lécher. Son sperme est délicieux, j'adore le jus en général, mais celui de Nico est toujours trop liquide et clair à mon goût. Celui là est épais,encore un peu chaud, et je me sens chienne en suçant ses doigts. Ça a l'air de lui plaire, car il me met à 4 pattes, sort sa bite encore dure, et me l'enfonce dans la gorge. Il me baise la bouche, je bave abondamment, mes yeux se révulsent tandis qu'il agace ma glotte, j'étouffe, et j'adore ça. Je comprends que je suis bonne à ça ; me faire utiliser et soumettre par des hommes virils, qui ne cherchent que leur plaisir et m'en donnent malgré tout. Sa grosse bite a le goût de son sperme, mais aussi de ma mouille, donc on voit les traces sèches à la base de sa queue. Il ne me fait pas sucer longtemps, sans un mot, il me redresse, me faisant face, me gifle un bon coup, ouvre ma bouche et me crache un gros mollard à l'intérieur, que j'avale en le regardant ans les yeux. Il me met une autre baffe, « bonne chienne, viens on va chercher à manger ». On reprend notre descente, puis on arrive dans la rue, il fait beau, pas de circulation, des tables et des chaises sont installées un peu partout, et des hommes y sont assis, discutant, buvant un café, fumant la chicha. Il y a pas mal de monde, que des hommes, et de tous les âges. Et je suis encore dans ma robe sexy d'hier, avec mes chaussures à talons, et mon haleine de zob. On arrive à l'épicerie, on entre,il y a quelques hommes faisant des achats, et le patron est à la caisse, lisant le journal en fumant une clope. Karim s'approche et le salue en arabe, l'homme lève la tête, et me voit. Il dit quelque chose en arabe à Karim, celui-ci lui répond, et l'homme éclate de rire. J'ai peur de comprendre ce qu'ils se disent, mais je commence à deviner ce qui va se passer quand l'homme se lève, et se dirige vers moi. Te revoilà petite kherba, t'en veux encore ? Paraît que t'as eu une autre dose ce matin pourtant. Je ne sais pas quoi répondre, chacune des paroles de la veille m'ayant valu un coup au visage. Karim me regarde, le regard lubrique. Je sens que je ne vais sortir d'ici tout de suite. L'homme me regarde, il dit : je m'appelle Abdul, toi, je me branle de comment tu t'appelles, mais maintenant t'es ma pute, et puisque t'es là, tu vas servir. Il dit quelque chose à Karim, qui m'attrape aussitôt par le bras, m'entraînant vers la réserve. On passe devant le comptoir où je me suis faite baiser la veille, j'aperçois mes traces de mouille sur le sol. J'entends Abdul parler d'une voix forte à l'extérieur, en arabe, et en réponse, des exclamations et des bruits de chaises qu'on racle au sol. L'angoisse m'envahit tandis qu'on entre dans la réserve. « Karim il se passe quoi ? _T'as fait beaucoup d'effet dans le quartier, et vu que t'es une bonne pute, pourquoi pas en faire profiter les cousins ? _Arrête je veux pas, et on est en plein jour Nico est en haut, il va s'inquiéter ! _T'inquiète, ton mec c'est une merde sans couilles et avec une petite bite. T'as besoin d'hommes virils, pas d'une pédale qui capte rien, sans blague je t'ai défoncé tout à l'heure, y avait du jus et de la mouille sur le sol devant lui _ C'est n'importe quoi laisse moi partir ! _ Ta gueule, je t'ai dit que t'étais une pute à rebeux maintenant, donc fais ton taf. Et bim une autre baffe, puis il m'attrape par les cheveux et me met à genou. Je sens que je mouille encore, alors je m'abandonne, j'ouvre la bouche au moment où il approche sa bite, et je suce. J'adore téter sa grosse queue en lui palpant les couilles, sa bite est vraiment parfaite pour moi, je me sens pute soumise juste ce qu'il faut. J'en oublie où je suis, jusqu'à ce que j'entende le son de plusieurs voix juste avant que la porte de la réserve s'ouvre, faisant entrer une douzaine des mecs qui étaient dans la rue, et en dernier, Abdul. J'en profite pour voir où je suis ; c'est une pièce lugubre, il y a une table au milieu de la pièce, et, j'aperçois un matelas crasseux posé au sol, dans un coin obscur de la pièce. Je suis encore à genou, Karim m'agrippe par les cheveux et me fais avancer à 4 pattes jusqu'au milieu de la pièce, tandis que les hommes m'encerclent en se massant la bite. Certains l'ont déjà sortie, et je me retrouve bientôt cernée par les bites. Il y en a des grosses, des fines, des longues, des courtes. Toutes circoncises et bandées à fond. Je vois Abdul et Karim dans le fond, ils n'ont pas la bite à l'air, ils discutent, et je vois que Karim filme avec son portable. Je n'ai pas le temps de réfléchir que déjà une bite s'introduit dans ma bouche. L'odeur est forte, mais pas désagréable, je sens qu'on s'agite autour, je lève les mains et deux bites viennent s'y poser, tandis que d'autres se frottent à mon visage, mes cheveux. Tandis que je pompe et que je branle, je sens que derrière on me relève ma robe, et un doigt s'introduit dans ma chatte encore pleine de jus. J'entends que l'homme fait une réflexion, puis je reçois une fessée. Je suis dans un état second, à genou dans la réserve d'une épicerie à sucer une douzaine de mecs tout en étant filmée. Et vu comment les choses se présentent, ils vont sûrement me baiser. Je me laisse faire, à quoi bon résister ? Cela serait beaucoup plus désagréable, voir dangereux. Je ne veux pas contrarier ces mâles, et en plus, je prends mon pied. Au bout d 'un moment, une fois que toutes les bites sont passées dans ma bouche, et que l'homme me doigtant a jugé que j'étais suffisamment ouverte, ils m'ont fait allonger sur le dos sur la table. De manière à pouvoir sucer, branler, et me faire baiser en même temps, le tout en étant totalement offerte. Je suis donc nue sur cette table rêche et collante, tandis qu'un premier homme se présente et pénètre ma chatte. Je le sens bien, il a un gros gland, et il me pilonne en me traitant de pute. Ils m'insultent tous, me mettent des gifles et des fessées, et me crachant dessus à chaque fois que je croise le regard de l'un d'eux. Je crie beaucoup aussi, de plaisir, mais aussi du bonheur de découvrir les bienfaits de la soumission et de l'humiliation. Ils m'utilisent comme ça pendant un moment, puis un homme jouit dans ma main, suivi d'un autre, sur mon visage et mes seins, puis un autre qui explose dans ma chatte. Tous jouissent assez vite, et je me retrouve vite avec le sperme de 4 mecs dans la fente, plus celui de tous les autres dans la bouche et sur le visage et le corps. Je jouis alors, puissamment, bruyamment, et cet orgasme me laisse à moitié consciente. Je ferme les yeux tandis que les hommes partent, le courant d'air créé par la porte qui s'ouvre et se ferme me fait sentir que je suis couverte de sperme. Je savoure le calme, jusqu'à ce que j'entende une voix, celle d'Abdul me dire : « ben t'es une sacré kherba toi, t'as pris tarif et t'as pas bronché c'est bien. Tu vas m'être utile pour régler de vieilles dettes. Viens là » Il me tire par les cheveux, me faisant me lever. Je ne proteste pas, je suis toujours dans un état second, hors du temps et de l'espace, et je sens que je goutte de partout. Il m'entraîne vers le matelas où il me jette, je le vois se déshabiller, alors je me met à 4 pattes et je cambre bien. « Baise moi Abdul, je veux que tu me finisse avec ta grosse bite ! » Il me pousse le cul avec son pied, me faisant rouler sur le côté, il s'avance et m'écrase la tête avec son pied. « Ta gueule salope tu veux rien du tout, t'es ma pute, mon objet, alors tu fermes ta gueule et t'attends en silence sale chienne » Ça m'excite qu'il me traite comme ça, dès qu'il me libère de son pied, je me remet en position et attends en silence. Il ne me fait pas poireauter, dès qu'il est nu, il enfonce son gros zgeg dans ma chatte défoncée, et se met à me bourrer, comme pour tasser bien au fond le jus qui s'y trouve. Il ressort néanmoins assez vite. Il me tourne et me fait sucer sa queue, couverte de mouille , et du sperme de plusieurs hommes. Je gobe son chibre du mieux que je peux, massant ses couilles et le regardant dans les yeux avec mon air le plus salope. Il sort sa bite, me met une gifle, et dit:toi, t'es uns super pute, tu mérites une récompense. Il me remet en levrette, me pénètre, et insère un de ses gros puces dans mon cul. C'est la première fois que je reçois quelque choses dans le cul, c'est une sensation inédite et délicieuse, un mélange de chatouillis excitants et une onde de plaisir enveloppante. Je jouis. Il me pilonne la chatte, tout en passant à deux doigts dans mon cul, puis à trois. Je ne réalise pas à quoi cela nous mène jusqu'à ce qu'il présente sa bite à l'entrée de mon cul. La peur m'envahit, mais je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit ; il me m'encule d'un coup avec toute sa bite. Je hurle de douleur, je me sens fendue en deux, et je n'ai qu'un réflexe, tenter de fuir.il m'attrape par les cheveux, m’immobilisant et me forçant à me cambrer. Il ne bouge plus, la douleur est lancinante, et je sens mon anus pulser autour de sa bite, trop grosse , trop longue pour mon trou. Il reste immobile pendant 5 minutes planté dans mon cul, moi plantée dans le matelas. Et il me parle. Il me dit à quel point je suis bonne, faite pour satisfaire les hommes, que toutes les blanches comme moi rêvent secrètement de se faire violer par une bande de rebeux, qu'il n'y a pas mieux qu'un rebeu pour faire jouir une femme, et qu'on devrait toutes être à la disposition des vrais hommes. Tous son discours de soumission psychologique fonctionne, je sens que je mouille, et que mon anus se détend, la douleur laissant à nouveau la place à l'onde de plaisir. J'ai l'audace de remuer ma croupe sur sa bite, ce qui me fait gémir. Il arrête alors de parler, et se met à littéralement me casser le cul, comme si il voulait me couper en deux. Je ne crie même plus, poussant juste un bruit de gorge à chacun de ses coups de bite. Il me défonce pendant 5 minutes, avant de gicler sa crème dans mon cul. Je ne sens plus rien, je met même quelques secondes à m'apercevoir qu'il s'est retiré et qu'il se rhabille. « T'as bien taffé, on se voit bientôt, Karim te dira quoi faire. Il est remonté à l'appartement avec les courses, t'as qu'à y aller. Soudain ma tête explose ; cela doit faire une heure que je me fais baiser, Karim est remonté seul, qu'a t-il pu dire à Nico ? Qu'est-ce qui va se passer ? En traversant la rue une fois sorti du magasin, je vois que tous les hommes me sourient, j'en reconnais un ou deux. Les autres, je ne sais pas si ils me sont passés dessus, mais vu le nombre de bites que j'ai pris, c'est sûrement le cas. Une fois dans l'immeuble, je réalise stupéfaite que je suis nue ! J'étais tellement dans un état second que je n'ai rien remarqué. Mon état fait peur à voir. Je suis couverte de traînées de sperme séché de marques de coups, ma chatte est béante et irritée, et mon cul me lance à chaque pas, me faisant marcher en cow boy, ce qui fait couler tout le sperme que j'ai en moi. Je tente de monter rapidement les escaliers malgré mon état. J'ai honte, il y a sûrement des familles dans cet immeuble, des femmes à la maison, et je viens de vider les couilles de leurs maris. Une fois sur le palier, je sonne à la porte. C'est Karim qui ouvre, hilare. Plus question de reculer, ou de trouver des excuses. Karim dit : « Entre j'ai expliqué à Nico que t'étais occupée. » J'entre donc dans l'appartement, et je me retrouve nue, face à mon mec, qui me dévisage. Il me scrute, me regarde de haut en bas, il ne peut rien ignorer de mon état, d'autant plus que Karim arrive, m'attrape violemment la tête et me fait mettre à 4 pattes, le cul face à Nico. Il a une vue parfaite sur mes orifices défoncés et fécondés. « Regarde ta pute ! Crois le ou non elle vient de vider 14 mecs, et je l'ai baisée quand t'as pris ta douche ! » Il me lâche enfin, je me retourne, toujours à 4 pattes, je me cambre et je regarde Nico dans les yeux. Je vois une larme rouler sur sa joue. Honteuse, je baisse les yeux, jusqu'à ce que je vois une bosse au niveau de son entrejambe...