Vengence d'une quadra rousse
Ce jour là elle avait décidé de se venger de lui. Depuis des mois, il se moquait d’elle, elle attendait une réponse qui ne venait pas. Elle arriva chez lui, habillée comme il aimait, souriante, une jupe courte, des hautes bottes aux talons fins, il les imaginait déjà se faufilant en lui… une guêpière noire en dentelle qu’on devinait sous un chemisier largement déboutonné. Elle l’embrassa de façon très provocante en arrivant, il sentit immédiatement sa queue vivre, elle portait son parfum, une odeur envoûtante… Avec une énergie inhabituelle, elle le prit par le bras, le déshabilla, le gifla et le bâillonna de son string de la veille. Ils s’étaient retrouvés en ville, elle l’avait branlé jusqu’à ce qu’il gicle sur son string et sur sa chatte puis elle était partie sans dire un mot… juste un sms : « demain dix heure chez toi… ». Elle prit une bouteille de champagne dans le frigo et elle l’ouvrit, il ne l’avait jamais vu faire ce geste, elle bu un grand verre cul sec et s’en versa immediatement un second. A chaque tentative de paroles, elle le giflait. Elle attrapa des cordes et méthodiquement elle l’attacha aux poutres, les bras et les jambes écartés. Il n’avait jamais été autant écartelé, il en avait rêvé… Elle tournait autour de lui, il bandait sans même qu’elle ne le touche. Elle enleva sa jupe et son chemisier, montée sur ses talons, ses jambes semblaient interminables, ses seins débordaient de la guêpière, elle mit ses longs gants noirs… Elle prit sa queue, elle le branla doucement puis elle lui mit sa cage, elle serrait déjà atrocement, elle força pour la fermer… Elle mordit violemment ses pointes de seins et prit ensuite les pinces qu’elle y attacha. Il avait mal, elle le gifla une nouvelle fois. Il sentait sa queue, mauve, couler. Toujours sans dire un mot, elle lui attacha la bouteille de champagne à la queue, bien serrée… Elle éteignit les lumières. Au bout de quelques minutes il entendit des murmures, on lui banda les yeux. Plusieurs corps tournaient autour de lui, un mélange d’odeurs, de pas, de mains qui frôlent Il sentit que la bouteille bougeait, sa queue était balancée d’avant en arrière, comme arrachée… il était trempé. Des coups de cravaches s’abattirent sur ses fesses, encore et encore, elles brûlaient, il aurait voulu dire stop mais il ne pouvait pas, le fouet alternait avec la cravache… Deux personnes… La bouteille chût et tout s’arrêta, ils buvaient… une main libéra sa queue et l’enfourna dans une bouche tiède et humide… pendant qu’une autre la ligotait très serrée, il se sentait aspiré au fond d’une gorge… puis il sentit une longue tige se faufiler dans sa queue gonflée, elle remontait loin, fort… Il gémit et fut giflé. Presque inconscient, il réalisa que quelqu’un venait de lui enfoncer un sexe ou un gode dans le cul, il se faisait sodomiser, profond, sa queue dans une bouche. Il ne voulait pas jouir… Il entendait d’autres corps baiser autour de lui… elle, où était elle, devant, derrière, prise par un autre, une autre, elle regardait… il ne savait pas…. Il entendit les respirations s’accélérer, des corps jouir, on le libera, sa queue était énorme, au bord de l’explosion. On le fit mettre à genoux menotté, son cul empalé sur la bouteille de champagne… Il sentit des corps approchés, des mains empoignèrent ses cheveux et écrasèrent sa tête contre des chattes gluantes d’envie et de jus, lèche ! Sa langue fut conduite entre des fesses trempées… Il voulait exploser… Sa queue battait mais personne ne le touchait et ses mains étaient attachées… Il avait mal…. Il fut relevé, libéré, le bandeau retiré, la pièce était vide, des guêpières, des strings humides sur le sol… Juste le verre de champagne et un mot : « Branle toi et bois… »